vendredi, mars 03, 2006

Flocons

J’avais préparé un petit post qui s’intitulait « la croisée des chemins » et qui décrivait un peu en détail pourquoi je pensais être à un important carrefour de ma vie et que je ne savais pas très bien quelle direction cette vie allait prendre. C’était un peu triste, encore, un peu chiant aussi. Alors, je vous épargne ce laïus.

Je vais plutôt vous dire un mot de Bénabar. Nous étions, lundi soir, Séverine, Solène, Caro, Nicolas, Philippe et moi à son concert au Folies Bergères. C’était vraiment un très très bon concert avec un Bénabar déchaîné qui nous a offert des moments de rire, d’émotions et de communion !

Le plus marrant, c’est que pendant ce concert, une certaine Caroline, dont j’attendais fébrilement le coup de téléphone m’a appelé. Je l’ai rappelée après le concert en obligeant Philippe et Séverine à poireauter dans leur voiture ! Elle me ballade un peu cette Caroline, je ne sais pas bien pourquoi : soit elle ne veut pas me revoir, soit elle joue un peu, soit elle ne sait pas (encore) ce qu’elle veut ! Pas très rassurant quoi… Mais je ne lâche pas le morceau. Un jour je vous dirai pourquoi je ne lâche plus le morceau et pourquoi je déteste cela.

Nous sommes vendredi, un vendredi de mars 2006. Dehors il tombe de jolis flocons ; nous sommes en hiver, un hiver qui dure depuis bientôt trois ans.